Je planterai des arbres sur le son des graviers De ces feuilles qui frissonnent dans…
Le machin web de Los Teignos
L’homme est laid souvent, idiot la plupart du temps et inutile toujours. Sauf qu’il a inventé la poésie. Et si ça ne pardonne pas tout, ça offre un sacré bénéfice du doute à l’heure des comptes…
Je planterai des arbres sur le son des graviers De ces feuilles qui frissonnent dans…
À force de nuit, de vacarme et d’habitude De chien gris en boule au pied…
De tout, il resta trois choses : La certitude que tout était en train de…
J’ai pris l’hiver sur le champ Dans mes poumons de fièvre Comme deux chiens le…
Ma rue habite ce silence aux larges trottoirs Façades de craie blanches Fenêtres noires Où…
Ne me reste que l’oiseau Les ailes, boitant, coupées, Le regard, buttant, percé À la…
[…] des vers signifient si peu de chose quand on les a écrits jeune !…
Il se souvient De quand deux mains terrestres attiraient Sa tête, la pressaient sur des…
Je me lève, je vois que notre barque a tourné, cette nuit. Le feu est…
La nuit. La pluie. Un ciel blafard que déchiquette
De flèches et de tours à jour la silhouette
D’une ville gothique éteinte au lointain gris.