Une cour américaine vient de déterminer que le Like de Facebook était un droit constitutionnel aux États-Unis au nom du Premier Amendement sur la liberté d’expression.
Le machin web de Los Teignos
Une cour américaine vient de déterminer que le Like de Facebook était un droit constitutionnel aux États-Unis au nom du Premier Amendement sur la liberté d’expression.
Avec près de 90% de parts de marché dans le secteur des moteurs de recherche, Google régnait jusqu’ici comme un monarque éclairé sur l’Internet français, un monarque aimé de tous ses sujets ou presque, quels qu’ils soient
Il venait d’avoir 30 ans, et il est mort aujourd’hui. Qui ça ? Le tonton du Web, à défaut d’être son grand père : le Minitel.
Né en 1868 et mort en décembre 1944, Paul Otlet était belge : pas le genre de belge à propos duquel on raconte des histoires de frites lorsqu’on est un français abonné à Télé Z, non. Plutôt le genre de belge dont on aurait rêvé qu’il soit français
Alors que, bras dessus, bras dessous et à la tierce, le baryton Dietrich Fischer-Dieskau, ainsi que les divas Warda al-Jazairia et Donna Summer viennent de nous faire leurs adieux, tandis que la hotline de l’Elysée est saturée d’appels de 34 ministres en quête d’explication de texte sur leur intitulé de poste, Facebook rentre en bourse comme dans un moulin pour y rejoindre les pointures du NASDAQ.
Les urnes ont parlé : c’est donc l’homonyme des Pays Bas qui devra veiller sur notre PIB. Si personne ne sait encore qui sera à quel poste dans la nouvelle équipe gouvernementale, on sait déjà, toutefois, que le ministre de la Culture actuel sera probablement reconduit dans ses fonctions. Non, je ne parle pas de cet animateur télé qui aura tenté, en vain, de se faire un prénom, mais bel et bien du véritable ministre de la culture de ces 5 dernières années : Monsieur Google.
Tandis que Google a besoin d’un quart de centrale nucléaire pour alimenter ses serveurs en…
Pour Noël, le boss de Microsoft Steve Ballmer sait déjà ce qu’il veut : il…
Parce qu’il n’y a plus grand chose à dire au sujet de la loi Hadopi qui n’a besoin de personne pour se ridiculiser et parce que le débat sur le droit à l’oubli est un peu trop consensuel pour passionner les foules, on n’est pas mécontent de voir débarquer le sénateur Jean-Louis Masson et son projet de loi visant à interdire l’anonymat sur les blogs (et on imagine bien, dans le prolongement, sur le web).