Comme on rend les armes, le soleil rendait sa dernière lumière à l’horizon, éclaboussant ciel et mer de panaches orangers, de coulées brunes et de halos pourpres (1).
Le machin web de Los Teignos
Comme on rend les armes, le soleil rendait sa dernière lumière à l’horizon, éclaboussant ciel et mer de panaches orangers, de coulées brunes et de halos pourpres (1).
Une fois n’est pas coutume, cet édito commence par un point d’orgue : le grand Jon Lord, qui était à Ritchie Blackmore ce que Charlie Oleg est à Simone Garnier, s’en est allé.
Liberté, égalité, temps de chiotte : ce sera pour cette année la devise du 14 juillet, avec cette météo à ne pas mettre un pyrotechnicien dehors, ou alors en K-Way, pour aller chercher du bois sous l’appentis et remettre une bûche dans l’âtre.
Tandis que par la fenêtre de leur bureau, les aoûtiens regardent tomber la pluie d’un air goguenard en pensant aux juillettistes, à quelques centaines de kilomètres de là (voire quelques milliers pour les plus aventureux), les juillettistes cherchent quant à eux au fond de leur valise ce maudit coupe-vent qu’ils étaient pourtant sûrs d’avoir emporté…