Ni tout à fait brune ou verte
La douceur de ton fleuve
Se pose sous l’oiseau
Et dans sa grande paume ouverte
D’algues sombres dans le ciel reflété
S’étend la liberté
De ne plus avoir
À s’envoler
Liberté
Publié dansPoèmes à la première femme
Ni tout à fait brune ou verte
La douceur de ton fleuve
Se pose sous l’oiseau
Et dans sa grande paume ouverte
D’algues sombres dans le ciel reflété
S’étend la liberté
De ne plus avoir
À s’envoler
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