Le volcan insatiable de ta voix bouillonnait de silence
Et tu me regardais comme le ciel Pompéi
Comme séisme à mouvoir les statues
Lave à suspendre le cours des oiseaux
Comme jamais à rêver d’encore
Ta voix en filets aux creux de ton corps
Parmi tes soupirs d’Italie
Et ciel Pompéi
Pompéi
Publié dansPoèmes à la première femme
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