Tu voudrais que les fantômes s’incarnent comme les vivants s’évanouissent
Tu voudrais les voir arpenter tes pointillés
Qu’ils y dressent des marches sauvages aux fanfares du silence
La queue battante et la tête lourde
Dans ton pas de danseuse, tu voudrais
Cette musique en chaque chose
Sans même savoir par quelle note elle commence
Fanfares
Publié dansPoèmes à la première femme
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