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[Le météore du 13 août]

À la seconde où tu m’apparus, mon cœur eut tout le ciel pour l’éclairer. Il fut midi à mon poème. Je sus que l’angoisse dormait.

Extrait de René Char : Le Météore du 13 Août (Fureur et Mystère, 1948)

Publié dansLittérature

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