Du lit je regarde la lumière inonder la chambre
La blancheur de ton corps enroulé dans le drap, des épaules jusqu’aux pieds
Et le trait d’horizon de ta main qui ouvre la vallée
Ciel sur champ au plus clair des chemins
J’ai tellement fait ce rêve qu’il me souvient
Matin
Publié dansPoèmes à la première femme
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