Une fois n’est pas coutume, cet édito commence par un point d’orgue : le grand Jon Lord, qui était à Ritchie Blackmore ce que Charlie Oleg est à Simone Garnier, s’en est allé.
Le machin web de Los Teignos
Une fois n’est pas coutume, cet édito commence par un point d’orgue : le grand Jon Lord, qui était à Ritchie Blackmore ce que Charlie Oleg est à Simone Garnier, s’en est allé.
Liberté, égalité, temps de chiotte : ce sera pour cette année la devise du 14 juillet, avec cette météo à ne pas mettre un pyrotechnicien dehors, ou alors en K-Way, pour aller chercher du bois sous l’appentis et remettre une bûche dans l’âtre.
Ce qu’il y avait d’amusant lors des dernières élections présidentielles comme législatives, c’est qu’entre les méchants banquiers qui font la vilaine dette, les terribles terroristes qui font l’affreuse insécurité, et le chômage qui fait des misères au pouvoir d’achat, on a complètement occulté les questions d’environnement qui étaient pourtant la grande thématique des élections présidentielles précédentes.
Les urnes ont parlé : c’est donc l’homonyme des Pays Bas qui devra veiller sur notre PIB. Si personne ne sait encore qui sera à quel poste dans la nouvelle équipe gouvernementale, on sait déjà, toutefois, que le ministre de la Culture actuel sera probablement reconduit dans ses fonctions. Non, je ne parle pas de cet animateur télé qui aura tenté, en vain, de se faire un prénom, mais bel et bien du véritable ministre de la culture de ces 5 dernières années : Monsieur Google.
C’est l’histoire d’un des plus gros avions de la flotte européenne, un appareil gigantesque de 60 millions de places, un titan de fer aux soutes chargées d’Histoire et qui, à l’heure de l’escale, attend qu’on désigne son commandant de bord pour le prochain trajet.
3 filles, 7 garçons, filmés 7 jours sur 7 pendant un mois. A 24 heures du Prime Time et deux semaines de la finale, ils auront tout donné : les grands idéaux, les discours emphatiques, les petites phrases assassines, les coups bas…
Après avoir présenté une émission de science-fiction dans des costumes ridicules, après avoir été conspués par la communauté scientifique au sujet de leurs thèses de doctorat comme de leurs publications en astrophysique, après avoir fait des choses aussi bizarres qu’étranges avec leurs têtes, il se pourrait bien qu’Igor et Grichka Bogdanoff, finalement, soient parvenus à inventer quelque chose dans le sillage d’Eubulide et de son célèbre paradoxe du menteur : le paradoxe du votant.
A l’heure où les supermarchés Picard passeraient pour des hammams, la grande découverte de la…
Info ou intox, la rumeur enfle sur le net que Megaupload aurait été mis hors…